Dans un contexte national marqué par des défis multiples – insécurité, crise sociale, effondrement institutionnel – le Premier ministre Alix Didier Fils-Aimé se distingue comme un chef de gouvernement pragmatique, déterminé et proche du peuple. Son action, multidimensionnelle et constante, vise une même ambition : reconstruire la confiance entre l’État et les citoyens, restaurer l’ordre public et redonner à la République son autorité et sa dignité.
Depuis plusieurs mois, il multiplie les initiatives dans les secteurs essentiels : sécurité, éducation, justice, affaires sociales, santé publique, élections générales, diplomatie et sport. Autant de fronts qu’il mène avec une vision claire : replacer l’État au service du peuple et inscrire son nom dans l’histoire comme l’artisan du redressement national.

Un Premier ministre à la reconquête de la stabilité politique
Sous la gouvernance d’Alix Didier Fils-Aimé, le gouvernement haïtien s’attelle à rétablir l’ordre républicain et la stabilité politique. Avec le soutien du Conseil Présidentiel de Transition (CPT), il œuvre à ramener les institutions républicaines au centre-ville de Port-au-Prince – symbole de la continuité de l’État et de la souveraineté nationale.
La Cour de Cassation, le Palais National, le ministère de l’Intérieur et d’autres institutions reprennent peu à peu leurs fonctions dans la capitale. Pour le Premier ministre, cette reconquête du cœur administratif est bien plus qu’un geste politique : c’est un acte de foi envers la République et un pas concret vers le retour à l’État de droit.

Un Premier ministre au soutien des familles policières et vulnérables
Sensible aux drames vécus par les familles de policiers tombés dans l’exercice de leur devoir, le Premier ministre a ordonné la distribution de kits scolaires et d’aides économiques à leurs proches, à l’occasion de la rentrée scolaire 2025–2026.
Parallèlement, le gouvernement, à travers le Fonds d’Assistance Économique et Sociale (FAES), soutient activement les familles vulnérables à travers tout le pays. Plus de 72 000 parents ont déjà reçu une aide financière de 15 342 gourdes via Natcash et Moncash, afin de permettre à leurs enfants de retourner à l’école.
Dans plusieurs départements, des kits scolaires et des fournitures ont été distribués à des milliers d’élèves issus de milieux défavorisés. Ces gestes, bien que symboliques, témoignent de la volonté du gouvernement de replacer l’éducation au cœur du développement et de réduire les inégalités sociales.

Un Premier ministre qui croit au pouvoir du sport
Pour la première fois dans l’histoire récente du pays, le gouvernement haïtien, sous l’impulsion d’Alix Didier Fils-Aimé, a octroyé un chèque de 100 millions de gourdes aux Grenadiers pour soutenir la sélection nationale dans le cadre des éliminatoires de la Coupe du Monde 2026.
Une décision saluée comme un acte fort de patriotisme et de reconnaissance envers les athlètes haïtiens.
Le Premier ministre voit dans le sport bien plus qu’un divertissement : un instrument de cohésion, de discipline et d’intégration sociale.
« Quand un jeune pratique un sport, qu’il se sent soutenu par son gouvernement et qu’il a la chance de représenter son pays, il est moins exposé à la délinquance », a-t-il déclaré, soulignant la nécessité d’investir dans les infrastructures sportives et la jeunesse.

Un Premier ministre au service des déplacés et de la sécurité publique
Conscient des conséquences humanitaires de l’insécurité, Alix Didier Fils-Aimé multiplie également les interventions pour venir en aide aux familles déplacées vivant dans les camps de Port-au-Prince et du Plateau Central. À travers le FAES et d’autres institutions publiques, des aides alimentaires, sanitaires et sociales ont été déployées afin d’améliorer leurs conditions de vie.

Dans le domaine sécuritaire, le chef du gouvernement a lancé trois chantiers majeurs pour la construction de centres carcéraux modernes, capables d’accueillir plus de 15 000 détenus. Ces infrastructures visent à désengorger les prisons existantes et à humaniser le système pénitentiaire haïtien.

Un Premier ministre garant de la justice et de l’État de droit
Alix Didier Fils-Aimé s’est également engagé à renforcer la justice haïtienne en soutenant la réforme du système judiciaire et en améliorant les conditions de travail des magistrats. La réouverture de la Cour de Cassation au centre-ville est, selon lui, une victoire symbolique : la justice retourne au cœur de la République, là où elle doit rendre ses décisions au nom du peuple.

« La justice est la colonne vertébrale de la stabilité nationale. Sans elle, il n’y a ni paix, ni démocratie, ni développement », a affirmé le Premier ministre lors de la rentrée judiciaire 2025–2026.

Un Premier ministre qui place la santé publique au cœur de ses priorités
Le Premier ministre Alix Didier Fils-Aimé accorde une attention particulière à la santé publique, qu’il considère comme un pilier fondamental du bien-être collectif et du redressement national. Conscient de la fragilité du système sanitaire, il a fait de son renforcement une priorité du gouvernement. Dans cette perspective, l’Hôpital de l’Université d’État d’Haïti (HUEH) ouvrira bientôt ses portes dans un autre site temporaire, le temps que la paix soit pleinement rétablie et que des travaux de réparation soient entrepris sur son bâtiment principal. Cette décision stratégique vise à garantir la continuité des soins et à éviter une rupture des services médicaux essentiels pour la population.

Parallèlement, plusieurs aides sanitaires ont été déployées dans la capitale et dans différents départements du pays, notamment sous forme de distributions de médicaments, de renforcement des cliniques communautaires et de programmes de vaccination. Le gouvernement a également soutenu les infirmières récemment diplômées à travers des aides financières et matérielles, dans le but de les encourager à rester au service de la nation. Pour le Premier ministre, investir dans la santé, c’est investir dans la vie et dans l’avenir d’un pays qui aspire à la stabilité et au progrès.

Un Premier ministre à l’action diplomatique
Sur le plan international, Alix Didier Fils-Aimé défend la cause d’Haïti avec fermeté et dignité. Il a obtenu, à l’ONU, le soutien pour le déploiement d’une force multinationale de sécurité chargée d’appuyer la Police nationale dans la lutte contre les gangs armés. Cette initiative, saluée par plusieurs partenaires internationaux, témoigne de sa volonté de combiner diplomatie et action pour rétablir la paix durablement.


Un Premier ministre engagé pour le retour à l’ordre constitutionnel et l’organisation d’élections générales
Dans sa vision de rétablir durablement l’État de droit, le Premier ministre Alix Didier Fils-Aimé accorde une importance capitale au retour à l’ordre constitutionnel par l’organisation d’élections libres, inclusives et crédibles. Pour lui, la stabilité politique ne peut être consolidée que si le peuple haïtien retrouve sa voix et son pouvoir de choisir ses dirigeants. Son gouvernement travaille activement, en étroite collaboration avec le Conseil Présidentiel de Transition (CPT) et les institutions électorales, à créer les conditions sécuritaires, techniques et logistiques nécessaires à la tenue de ce scrutin historique.

Des discussions sont en cours avec les partenaires internationaux afin d’assurer un appui financier et technique, tout en préservant la souveraineté nationale. Le Premier ministre a rappelé à plusieurs reprises que ces élections ne doivent pas être une formalité politique, mais un véritable exercice de démocratie et de légitimité populaire. Dans ses propres mots : « Nous devons redonner au peuple le droit de décider de son avenir, dans la paix, la transparence et la dignité. » Par cette démarche, Alix Didier Fils-Aimé entend poser les bases d’un renouveau institutionnel durable et d’une gouvernance fondée sur la confiance et la responsabilité.

À travers son leadership, sa proximité avec la population et sa vision pragmatique, Alix Didier Fils-Aimé incarne un style de gouvernance centré sur le devoir, le résultat et la responsabilité.
Homme d’action mais aussi de réflexion, il avance sans triomphalisme, avec pour ambition de redonner à Haïti la stabilité et la dignité qu’elle mérite.
« Je veux laisser derrière moi une trace utile, une empreinte d’ordre et d’espérance », confiait-il récemment.
Et c’est précisément cette empreinte qu’il s’efforce d’inscrire chaque jour, sur le terrain, dans les cœurs, et dans l’histoire d’un pays qui aspire, enfin, à renaître.